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]]>Un lieu dans lequel nos promenades nous menaient souvent lorsque les enfants étaient petits. Le cadre est toujours magnifique au pied du Vercors et avec les perspectives sur la Chartreuse, le jardinier fait un travalil formidable. Les familles et promeneurs profitent relativement peu du lieu, préferrant se reporter en masse sur le pourtant proche parc de l’Ovalie.
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]]>Une paire de photos prises entre Lattes et Maguelone, sur le littoral montpelliérain.
On distingue le Pic Saint-Loup tout au fond, le sommet emblématique de l’arrière-pays – avant d’arriver au relief plus consistant des Cévennes.
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]]>Le village de Montaud est situé sur un balcon dominant la vallée de l’Isère et la cluse de Voreppe au point le plus septentrional du massif du Vercors. il fournit un point d’observation privilégié pour admirer les falaises les plus au nord du Vercors, entre le Bec de l’Orient et la Buffe. A partir de l’église de nombreux sentiers permettent de s’évader vers le secteur du Pas de la Clé, ou en restant à niveau sur les chemins parcourant le vallon de Montaud.
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]]>Quitter l’agglomération grenobloise pour s’échapper vers les collines du Tullinois, la plaine de Varces, ou partir à l’attaque des reliefs de Belledonne, Chartreuse ou Vercors est une chose accessible sans trop de difficulté. Parvenir à le faire par les petites routes bien connues des cyclos du coin, qui permettent dès les premiers tours de roue de profiter du paysage sans avoir à se battre avec le traffic des gros axes qui sillonnent la vallée requiert une accumulation d’expériences, tâtonnements, échanges de toutes sortes – qui permettent à la fin de converger vers un itinéraire dont on sait qu’il est le plus approprié pour s’évader en douceur de la cuvette Grenobloise. Ces itinéraires sont le bon compromis entre distance, état du revêtement et plaisir de rouler sur une petite route de campagne, de préférence aux axes fréquentés.
Les départs sont généralement indiqués au départ de la halle des sports de Sassenage, vers les installations sportives et le centre technique. Les itinéraires utilisent abondamment la voie verte 63, qui se coule en site propre le long de l’Isère. Avec un peu d’endurance et beaucoup de temps, elle permet de relier Grenoble à la Via Rhôna, à hauteur de Pont de l’Isère (A/R : 200km). Ou de partir vers le sud le long du Drac, ou au nord de Grenoble en en suivant les méandres.
Les traces GPX peuvent être utilisées comme base pour être étendues selon vos propres buts de sortie grâce aux logiciels spécifiques (Garmin, Openrunner pour citer les 2 que j’ai à l’esprit). Même s’il existe des centaines de circuits avec leurs variantes au départ de Grenoble, les démarrages tiennent certainement en une vingtaine d’itinéraires. J’essaie ici de faire la synthèse de toutes les expériences accumulées. J’emprunte régulièrement ces amorces, il s’agit d’itinéraires vérifiés que j’ai plaisir à faire et refaire.
Une autre solution, pour le cycliste équipé d’un bon éclairage, consiste à partir au jour levant d’une belle journée d’été ; dans ces conditions il est encore possible d’emprunter les nationales encore désertes à cette heure (notamment les dimanches) pour tirer au plus court, et arriver au plus vite au pied de la difficulté. Et ce sans y laisser trop d’énergie, les grands axes étant soigneusement étudiés pour éviter les pentes trop prononcées. Si vous ne rechignez pas devant des lignes droites interminables…
Vers le sud de Grenoble les flux sont fortement canalisés, entre la ligne de crête du Vercors est et les balcons du Drac. Il existe relativement peu de solutions. Le choix se pose comme d’habitude entre rouler « à l’économie » mais en empruntant les grands axes (notamment la N75, remaquillée en D1075 par la magie de la décentralisation – mais ne vous y trompez pas : c’est une autoroute, au sens propre et figuré – la D1075 effectue la jonction entre les 2 barreaux autoroutiers qui s’arrêtent au col du Fau côté Grenoble et à Sisteron au sud), ou jouer des manivelles en accumulant des kilomètres supplémentaires en tours et détours pour éviter la nationale. Une autre solution, certainement la meilleure si vous souhaitez partir au long cours, consiste à panacher train et vélo. Elle est décrite dans cet article.
A titre de référence, l’itinéraire empruntant la N75 à partir de Pont-de-Claix représente 53km pour 900m d’ascension. Pour un même résultat sans train et sans trafic, il vous en coûtera une approche notablement rallongée, avec un fort dénivelé additionnel. Allons-y :
– Clelles par Gresse-en-Vercors : Clelles marque le point de départ pour partir vers le Vercors Dromois par l’est (cols de Menée puis Die ou col de Grimone). Pour l’atteindre par cet itinéraire, compter 72km pour 1800m d’ascension par les cols de Risset (Comboire), montée à Miribel Lanchâtre puis Gresse-en-Vercors, avec en finale de très beau col de l’Allimas, à partir duquel la route redescend vers la N75 que l’on emprunte sur environ 5km avant de rejoindre la route du col de Menée à hauteur de Clelles. On peut certainement rajouter du dénivelé en prenant la route du col de l’Arzelier à partir de St-Barthélémy du Gua (puis Chateau-Bernard, Saint-Andéol). L’itinéraire offre de somptueux paysages sur les falaises est du Vercors.
Cette approche peut aussi être utilisée si on se fixe comme but la montée au col de L’Arzelier (dans ce cas bifurquer à droite Saint-Barthélémy du Gua), ou pour aller rouler dans la plaine du Drac vers Saint-Georges de Commiers (notamment pour accéder aux balcons du Drac en direction de La Mure), Champs-sur-Drac. Dans ce cas diverger respectivement à partir de Vif ou Varces.
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– Clelles par le Trièves : cette option privilégie les petites routes dans la « plaine » du Trièves, et pourtant : 72km pour 1700m D+. Le dénivelé est à 100m près le même que par la route de Gresse, au relief apparemment plus prononcé. Comme quoi il faut toujours se méfier des profils de collines… Il est vrai que la région de Mens est constituée d’un plateau certes, mais entaillé notamment par l’Ebron, affluent du Drac. La route le franchit par une succession de descentes puis remontées. On ne s’arrête jamais vraiment.
L’approche emprunte le même tracé que dans la variante par Gresse, en partant vers Monestier de Clermont plutôt que de rester au contact du Vercors. Cela permet de découvrir le plateau de Mens, avant de retourner vers Clelles.
Cette route peut être une amorce vers la Matheysine (La Mure) ou le Beaumont (lac du Sautet, Corps). On peut aussi tirer au sud vers le col de La Croix Haute par Saint-Maurice-en-Trièves. Franchir le col nécessitera de rouler ensuite une dizaine de kilomètres sur la fameuse N75 avant de pouvoir s’échapper vers le col de Grimone ou… de continuer sur la N75 vers les Hautes-Alpes.
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]]>Quitter l’agglomération grenobloise pour s’échapper vers les collines du Tullinois, la plaine de Varces, ou partir à l’attaque des reliefs de Belledonne, Chartreuse ou Vercors est une chose accessible sans trop de difficulté. Parvenir à le faire par les petites routes bien connues des cyclos du coin, qui permettent dès les premiers tours de roue de profiter du paysage sans avoir à se battre avec le traffic des gros axes qui sillonnent la vallée requiert une accumulation d’expériences, tâtonnements, échanges de toutes sortes – qui permettent à la fin de converger vers un itinéraire dont on sait qu’il est le plus approprié pour s’évader en douceur de la cuvette Grenobloise. Ces itinéraires sont le bon compromis entre distance, état du revêtement et plaisir de rouler sur une petite route de campagne, de préférence aux axes fréquentés.
Les départs sont généralement indiqués au départ de la halle des sports de Sassenage, vers les installations sportives et le centre technique. Les itinéraires utilisent abondamment la voie verte 63, qui se coule en site propre le long de l’Isère. Avec un peu d’endurance et beaucoup de temps, elle permet de relier Grenoble à la Via Rhôna, à hauteur de Pont de l’Isère (A/R : 200km). Ou de partir vers le sud le long du Drac, ou au nord de Grenoble en en suivant les méandres.
Les traces GPX peuvent être utilisées comme base pour être étendues selon vos propres buts de sortie grâce aux logiciels spécifiques (Garmin, Openrunner pour citer les 2 que j’ai à l’esprit). Même s’il existe des centaines de circuits avec leurs variantes au départ de Grenoble, les démarrages tiennent certainement en une vingtaine d’itinéraires. J’essaie ici de faire la synthèse de toutes les expériences accumulées. J’emprunte régulièrement ces amorces, il s’agit d’itinéraires vérifiés que j’ai plaisir à faire et refaire.
Une autre solution, pour le cycliste équipé d’un bon éclairage, consiste à partir au jour levant d’une belle journée d’été ; dans ces conditions il est encore possible d’emprunter les nationales encore désertes à cette heure (notamment les dimanches) pour tirer au plus court, et arriver au plus vite au pied de la difficulté. Et ce sans y laisser trop d’énergie, les grands axes étant soigneusement étudiés pour éviter les pentes trop prononcées. Si vous ne rechignez pas devant des lignes droites interminables…
Les accès sont donnés d’ouest en est.
– Moirans Voiron : pour sortir vers la vallée de la Bièvre, les Terres Froides, Charavines, les Mille Martyrs…
On emprunte la voie verte 63 que l’on quitte à hauteur de la sortie Moirans pour continuer à travers champs. L’itinéraire traverse Moirans puis rejoint le centre de Voiron par les petites routes du Criel.
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– Voiron (col de la Croix Bayard) par les balcons de la Buisse : pour s’ouvrir les portes de la Valdaine, les Mille Martyrs, les Echelles, Saint-Laurent du Pont. Donc tous les accès ouest au massif de la Chartreuse : route de la Grande Chartreuse (Guiers Mort), gorges du Guiers vif par Berland puis St-Pierre d’Entremont… Cette amorce peut préparer le retour par la Chartreuse intérieure : cols du Cucheron puis Porte.
Il s’agit pour moi de la meilleure alternative à la route « directe » par le col de la Placette, qui se trouve également canaliser tout le trafic routier entre le nord de la région grenobloise et Chambéry donc… j’évite. L’itinéraire passe par la zone Centr’Alp, traverse la plaine puis se hisse sur une petite route à flanc de colline entre la Buisse et Coublevie. Le col de la Croix Bayard, situé à l’est de Voiron, est un point de passage incontournable pour les cyclos du coin.
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– Voreppe par la Roize (piste cyclable) : pour se projeter en plein centre de Voreppe sans croiser une voiture. L’itinéraire exploite la sortie Voreppe de la voie verte 63, puis serpente autour d’un lac pour remonter le long de la Roize à travers la zone de l’Ile Gabourd, puis Voreppe centre. Restera ensuite à savoir ce que vous ferez à partir de là, les 2 seules alternatives étant le col de la Placette ou la montée au Monastère de Chalais, qui se fait en aller-retour (et avec des développements adaptés, les fortes pentes se conjuguent à la longueur de l’ascension).
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– Voreppe par les maïs : Depuis que le rond-point de l’échangeur de Voreppe a été réaménagé, on peut l’emprunter en vélo sans y risquer sa vie quand on cherche à basculer vers la petite route qui passe devant le Novotel – la prudence s’impose malgré tout, on côtoie le traffic de l’échangeur du péage de Voreppe sur 200m. La suite est bien plus paisible, à travers les champs de maïs. On passe vers Vicat, puis à la gare de Voreppe, avant de traverser le centre par la rue piétonne.
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– Saint-Egrève – La Monta : pour attaquer la Chartreuse sud sans trop perdre de temps en préambules … c’est par la Monta ! Accès à la route de Proveysieux, col de la Charmette (descente sur Guiers Mort TRES dégradée) ou montée directe sur Quaix-en-Chartreuse puis Sarcenas, ou retour par Clémencières. L’accès côté rive gauche de l’Isère se fait par le barrage de Saint-Egrève. Venant de la rive droite il suffit de remonter jusqu’à la Vence. Une jolie piste cyclable remonte ensuite le long de la rivière avant de rejoindre la route qui poursuit jusqu’à la Monta, vieux hameau au pied de la difficulté. L’approche se fait entièrement en site propre jusqu’au dernier kilomètre, en zone résidentielle.
Une variante consiste, à partir du barrage, à prendre la piste cyclable qui passe tout droit vers la zone commerciale en direction de Rochepleine.
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– Saint-Martin-le-Vinoux – route de Narbonne : l’une des ascensions les plus immédiates à réaliser, à 5 min du centre de Grenoble – la route de Narbonne, bien connue des employés du polygone scientifique qui vont rouler sur la pause repas. Cet itinéraire amène au pied de l’ascension, qui peut ensuite se poursuivre vers le col de Clémencières, puis Vence ou Porte par Sarcenas, puis, pourquoi pas… les cols du Cucheron puis du Granier. On parle de ce cas de la trilogie de Chartreuse. C’est l’une de mes approches favorites pour grimper vers Porte – j’exècre la route directe qui part de La Tronche, par une belle journée c’est l’autoroute.
La boucle la plus rapide consiste à monter à Narbonne, Ripaillère puis se laisser glisser vers Grenoble par la « grande route » de Saint-Martin-le-Vinoux (D57). 0% de plat, 100% de côte avec du bon 10%.
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– Saint-Martin-le-Vinoux – route de Clémencières : il s’agit de l’approche pour la route directe (et plus roulante que par Narbonne, encore que…) du col de Clémencières. L’itinéraire longe l’Isère par la piste cyclable qui débouche au centre de Grenoble au niveau du Jardin des Dauphins, sous la Bastille.
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]]>Quitter l’agglomération grenobloise pour s’échapper vers les collines du Tullinois, la plaine de Varces, ou partir à l’attaque des reliefs de Belledonne, Chartreuse ou Vercors est une chose accessible sans trop de difficulté. Parvenir à le faire par les petites routes bien connues des cyclos du coin, qui permettent dès les premiers tours de roue de profiter du paysage sans avoir à se battre avec le traffic des gros axes qui sillonnent la vallée requiert une accumulation d’expériences, tâtonnements, échanges de toutes sortes – qui permettent à la fin de converger vers un itinéraire dont on sait qu’il est le plus approprié pour s’évader en douceur de la cuvette Grenobloise. Ces itinéraires sont le bon compromis entre distance, état du revêtement et plaisir de rouler sur une petite route de campagne, de préférence aux axes fréquentés.
Les départs sont généralement indiqués au départ de la halle des sports de Sassenage, vers les installations sportives et le centre technique. Les itinéraires utilisent abondamment la voie verte 63, qui se coule en site propre le long de l’Isère. Avec un peu d’endurance et beaucoup de temps, elle permet de relier Grenoble à la Via Rhôna, à hauteur de Pont de l’Isère (A/R : 200km). Ou de partir vers le sud le long du Drac, ou au nord de Grenoble en en suivant les méandres.
Les traces GPX peuvent être utilisées comme base pour être étendues selon vos propres buts de sortie grâce aux logiciels spécifiques (Garmin, Openrunner pour citer les 2 que j’ai à l’esprit). Même s’il existe des centaines de circuits avec leurs variantes au départ de Grenoble, les démarrages tiennent certainement en une vingtaine d’itinéraires. J’essaie ici de faire la synthèse de toutes les expériences accumulées. J’emprunte régulièrement ces amorces, il s’agit d’itinéraires vérifiés que j’ai plaisir à faire et refaire.
Une autre solution, pour le cycliste équipé d’un bon éclairage, consiste à partir au jour levant d’une belle journée d’été ; dans ces conditions il est encore possible d’emprunter les nationales encore désertes à cette heure (notamment les dimanches) pour tirer au plus court, et arriver au plus vite au pied de la difficulté. Et ce sans y laisser trop d’énergie, les grands axes étant soigneusement étudiés pour éviter les pentes trop prononcées. Si vous ne rechignez pas devant des lignes droites interminables…
Basse vallée de l’Isère : collines du Tullinois, Royans, Vercors ouest :
– Tullins : pour partir sur les collines du Tullinois ; dessert aussi la montée d’Ezy, la route de Montaud (par Veurey), Saint-Quentin sur Isère.
Une petite vingtaine de kilomètres de voie verte le long de l’Isère, puis une courte remontée dans les champs de noyers pour doubler la longue ligne droite de Tullins.
Amorce de 23 km pour des circuits vallonnés de 60 à 80 km.
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– Vinay : pour revenir vers Tullins par les collines (ND de l’Osier, Cras…), ou étendre et rayonner vers le plateau des Chambarans, Roybon ; dessert aussi la montée des Ecouges par Saint-Gervais (l’une de mes ascensions préférées !)
30 km de voie verte, puis une petite route vallonnée pour déboucher au coeur de Vinay. On remontera ensuite en rive gauche ou droite, selon que l’on vise le retour vers Tullins ou une échappée vers les Chambarrans.
Amorce de 35 km pour des circuits vallonnés de 80 à 110 km.
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– Cognin-les-Gorges : sur l’impressionnante route de Malleval, qui franchit les gorges en s’accrochant au rocher avant d’ouvrir sur le cirque de Malleval, puis la montée finale vers la forêt des Coulmes voire, pour les plus aguerris, vers le col du Mont Noir.
Il s’agit d’une variante du démarrage vers Vinay, avec 5 bons km de navigation intéressante dans les noyeraies entre Saint-Gervais et Cognin-les-Gorges.
Amorce de 36 km pour des circuits de montagne de 100 à 120 km.
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– Pont-en-Royans : point de départ pour partir à l’assaut des très belles routes historiques qui entament le Vercors par son versant ouest. Route des Grands Goulets (malheureusement amputées de sa partie la plus impressionnante par un insipide infâme* tunnel bétonné), Col de la Machine (Combe Laval !), col du Pionnier, col de la Bataille… Ou encore les gorges de la Bourne par Choranche.
Cette amorce (sérieuse : 57 km pour 430m D+) use abondamment des petites routes de charme, parcourant les champs de noyers, avec de très belles vues sur l’Isère, dont on ne s’éloigne jamais. A noter le franchissement d’un petit col entre Saint-Romans et Saint-André en Royans, de préférence à la D518 qui reste en plaine. L’itinéraire dessert également la montée vers les Coulmes par Saint-Pierre de Chérennes.
C’est l’appel du sud, qui ouvre vers les circuits de montagne de 120 à plus de 200 km.
* tunnel routier des Grands Goulets : tunnel moderne aux normes en vigueur, 1.7 km en montée – mais… avec un bruit de roulement infernal quand une voiture (ou camion, encore pire…) est à l’approche. Rendez-nous l’historique et mythique passage originel, au moins pour les piétons et vélos !!!.
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A suivre :
Vallée de l’Isère nord (Grésivaudan) :
A venir.
Plaine de Varces, Trièves :
De Grenoble à Clelles sans y laisser sa peau
A venir.
Belledonne :
A venir.
Vercors :
A venir.
Chartreuse :
A venir.
The post S’échapper de Grenoble à vélo… (1) La basse vallée de l’Isère first appeared on Photos-Dauphiné.
]]>The post Dachau first appeared on Photos-Dauphiné.
]]>Ce nom parle-t-il encore aux jeunes générations ? L’Allemagne, avec sa dette mémorielle sans fin, rend obligatoire la visite d’un camp de concentration pour tous les jeunes en âge de réaliser ce qui s’est déroulé sur leur sol il n’y finalement pas si longtemps. Et effectivement il y a en permanence sur le site de nombreux groupes de jeunes étudiants emmenés par leurs professeurs.
L’intention est louable, mais cela induit certains effets pervers, les adolescents rejetant parfois à cet age ce qui leur est imposé. S’ensuivent des réactions d’indifférence en opposition à ce programme cadré par une autorité, qui tente de perpétuer le devoir de mémoire (de regret ?)… Le problème est compliqué, cette approche ne risque-t-elle pas de faire le lit d’un négationisme rampant ?
Après guerre les infrastructures du camp se sont peu à peu délabrées. Plus tard, la municipalité voulut raser cet encombrant vestige. Ce qui fut évité par une volonté politique forte se préserver ce qui devait l’être.
Dachau (prononcer [ˈdaxaʊ] en allemand) fut le premier camp de concentration allemand, non loin de Munich. Le modèle, en quelque sorte, à partir duquel furent déclinés les camps suivants. A ne pas confondre avec les camps d’extermination (Auschwitz, Buchenwald, Treblinka…), dont la finalité était de faire disparaître le plus grand nombre de personnes, au coût minimum. Il y a une notion hallucinante de rendement, une dimension industrielle qui nous projette dans un abîme de folie meurtrière.
Ceci étant l’Allemagne nazie souhaitait rester présentable, et ne voulait pas que de telles atrocités soient commises sur son territoire. Il fallait garder le sol propre, rester digne et fréquentable. Les camps d’extermination se situaient en dehors du pays, beaucoup notamment en Pologne.
Dachau était initialement un camp d’internement pour opposants au régime nazi, qu’ils soient de nature politique ou religieuse par exemple. Des massacres y ont été commis, mais ce n’était pas la finalité du camp. Et pourtant c’est bien à Dachau que se trouve la matrice criminelle d’un régime inégalé dans notre histoire par son inhumanité.
* Le travail rend libre.
Cette devise figurait à l’entrée de tous les camps allemands. Elle n’est pas directement inspirée par le 3e Reich, elle est bien antérieure. Je cite Wikipédia :
Heinrich Beta a utilisé la formule en 1845 dans un écrit intitulé Argent et esprit (Geld und Geist) : « Ce n’est pas la foi qui rend heureux, pas la foi en des curetons égoïstes et nobles, mais c’est le travail qui rend heureux, car le travail rend libre. Ce n’est ni protestant ou catholique, ni allemand ou chrétien, ni libéral ou servile, c’est une loi générale de l’humanité et la condition sine qua non de toute vie et aspiration, de tout bonheur et accomplissement »
Certains régimes totalitaires (dont le régime nazi) se sont ensuite appropriés la maxime.
Voir aussi le KL Struthof-Natzwiller.
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]]>The post Monastère franciscain de Bonlanden first appeared on Photos-Dauphiné.
]]>Par le plus grand hasard d’un déplacement professionnel je me suis retrouvé en « retraite » dans ce monastère tenue par les sœurs franciscaines. La petite localité rurale de Bonlanden est située au sud de l’Allemagne, au centre du triangle formé par Constanz à l’ouest, Munich à l’est et Stuttgart au nord, à la limite du Bade Wurtenberg et de la Bavière.
C’est en pleine campagne certes, mais avec de belles fermes bien entretenues – très loin des granges avec les toits de tôle rouillée auxquels nous sommes habitués.
Images d’un petit matin maussade.
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]]>The post Crest first appeared on Photos-Dauphiné.
]]>La cité de Crest n’est pas très éloignée du couloir de circulation rhodanien, à l’est de ce dernier. Le village est malgré tout excentré, on n’y passe pas vraiment pas hasard.
Situé sur l’axe ouest-est Loriol-Gap par Die, il faut avoir généralement un but bien précis pour y faire relâche. A moins que ce ne soit le donjon, construit sur l’arête rocheuse – d’où l’éthymologie Crest (crête), qui interpelle de loin le visiteur par son aspect massif et gigantesque. Ce donjon est de fait référencé comme le plus haut de France, et peut justifier par lui seul la visite.
La petite cité vaut pourtant le détour. Laissant la voiture sur les bords de Drôme, on prend plaisir à franchir le grand pont qui dégage une belle perspective sur le relief des Barronies qui barre l’horizon, puis une fois la Drôme franchie, à flâner dans la rue principale flanquée de belles maisons d’époque.
L’accès au donjon se mérite… d’abord par l’ascension d’un escalier monumental suivi de petites rues pittoresques, ensuite par la montée dans l’édifice lui-même. Les murs sont tellement épais que malgré des températures estivales en ce début de printemps, il régnait ce jour une température d’à peine plus de 10 degrés dans le donjon. Prévoir la petite laine…
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]]>The post Ca passe au tunnel du Mortier… first appeared on Photos-Dauphiné.
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On ne peut pas vraiment parler de piste, c’est plutôt une roche concassée grossière qui peut à la limite convenir pour des VTT. Pour du vélo route il faut mettre pied à terre et passer en poussant. Les voitures ne peuvent passer.
De toute manière, le tunnel du Mortier a été aménagé pour n’autoriser le passage que de piétons ou vélos.
Une très bonne nouvelle pour tous les promeneurs qui peuvent désormais faire cette boucle magique consistant à se projeter de la vallée de l’Isère en plein coeur des Quatre Montagnes. Pour les vélos, retour possible par Autrans / Croix Perrin / Lans – voire la Molière – Les Egaux à VTT.
Pour la petite histoire, cette route a été construite précipitamment durant l’été 1967 et ouverte en avril 68 pour offrir un accès direct depuis la vallée de l’Isère (Veurey ou St-Quentin s/ Isère) au val d’Autrans. C’est une route magnifique par le point de vue qu’elle offre sur le Tullinois et le Voironnais. Mais également très exposée car construite à l’aplomb des falaises. Reconstruite après avoir été une premières fois emportée, son entretien s’est avéré trop aléatoire sur le long terme. Après l’éboulement qui a à nouveau emporté la route sur 100 mètres, le secteur a été laissé à l’abandon, et la route officiellement fermée à la circulation après Les Coings, le dernier hameau de Montaud sur les hauteurs.
– éboulis principal de la Palette du 20 Avril 1992 (20,000 m3 qui ont emporté la route sur 100 m)
– ancien éboulis de Combe Noire du 30 janvier 1971 (50,000 m3), réouvert le 5 Octobre 1972 avec un reprofilage et une purge du point de départ de l’éboulis (30,000 m3).
Depuis le rond-point de Veurey au tunnel il y a 19km pour 1200m de D+, c’est une ascension remarquable – certainement hors catégorie.
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